SEDNA - DEESSE DE LA MER - Peinture et collage sur calendrier - 38,5 x 54 - 450 €
Une légende très connue des Inuits qui fait en sorte que les chasseurs vivent dans l'obligation de traiter la mer, et les femmes avec respect.... J’ai choisi les poissons car ils sont menacés dans leur habitat (mers, océans, rivières) par la pollution humaine. J’ai commencé à travailler sur ce thème et le sommet des océans m’a confortée dans mon acte de création. Leur rôle vital pour le climat et la biodiversité est aujourd’hui plus menacé que jamais. J’ai découvert le terme « larmes de sirène », une catastrophe environnementale... Comme un hymne vibrant à la mer et à la féminité, un cri d’amour à la biodiversité marine, mais aussi une réflexion sur l'identité et la symbiose, une ode à la beauté vibrante des océans et à la fusion sacrée entre l'humain et la nature. Ma déesse des océans vous invite dans un monde où la nature est souveraine. Comme une plongée sensorielle, à la fois méditative et éveillante, où la chevelure devient récif, le regard devient miroir, et le silence des abysses devient chant de vie. Elle est une allégorie de la vie marine et de l’unité profonde entre l’humain et la nature. Cette figure féminine, faite d’éléments marins et végétaux, incarne une mémoire collective et organique. Elle porte la mémoire liquide du monde - l’océan, ventre originel de la vie. Elle raconte les souvenirs de la Terre avant l’homme. Une invitation à la contemplation et au questionnement : que reste-t-il de notre lien à la mer ? Qui sommes-nous sans elle ? À mi-chemin entre rêve, écologie et mythologie, elle nous rappelle notre rôle de gardien·nes du vivant.